LANCEMENT DU PREMIER EVENT le 01/04/2024Soyez au rendez-vous !
74 ans
Fléaux
Rang 2
La Captivité
· Broche en forme d’araignée (La Captivité)
· Boussole des cents cardinaux (rang 2)
· Voyageur tridimensionnel (rang 2)
· Boussole des cents cardinaux (rang 2)
· Voyageur tridimensionnel (rang 2)
La vie n’a pas toujours été très tendre ou sympathique avec moi pour le coup, mais je peux dire que la situation actuelle n’est pas si désagréable que ça. Elle est même relativement confortable à vrai dire, comparé à l’esclavagisme que j’ai subi il y a plusieurs années de cela. Car oui, j’ai été l’esclave d’un fléau relativement puissant, il y a encore quelques années. Il me faisait faire toutes ses sales besognes, voire il se défoulait sur moi quand ça pouvait l’amuser. Heureusement qu’il s’est mis La Captivité à dos et qu’il s’est fait lamentablement humilier et massacrer, ça m’a permis de reprendre du poil de la bête. Du coup j’ai décidé de rejoindre ce groupe puissant, en espérant pouvoir devenir moi-même plus puissant pour me créer une indépendance dans le futur. Et en effet, depuis que j’ai rallié ce groupe ma puissance s’est multipliée.
Car oui, c’est ça que je prépare en ce moment : une horde. Elle n’est pas encore créée mais ça ne saurait tarder. Pour l’instant je dois installer mes pions petit à petit, créer des liens et des alliances, manipuler des maîtres des fléaux qui voudraient me rejoindre dans ma quête : celle du plaisir.
Car oui, quoi de plus important que le plaisir dans la vie? Je vous le demande. Je suis l’Hédonisme incarné, les plaisirs corporel et psychologique, l’évitement de la souffrance et de la peine. Qu’est-ce qui pourrait être plus attirant pour ces êtres aussi avare et lubrique que ce postulat?
Mais en attendant je travaille pour La Captivité. Mais ce statu quo n’est pas éternel, je me le suis promis suffisamment de fois..
Car oui, c’est ça que je prépare en ce moment : une horde. Elle n’est pas encore créée mais ça ne saurait tarder. Pour l’instant je dois installer mes pions petit à petit, créer des liens et des alliances, manipuler des maîtres des fléaux qui voudraient me rejoindre dans ma quête : celle du plaisir.
Car oui, quoi de plus important que le plaisir dans la vie? Je vous le demande. Je suis l’Hédonisme incarné, les plaisirs corporel et psychologique, l’évitement de la souffrance et de la peine. Qu’est-ce qui pourrait être plus attirant pour ces êtres aussi avare et lubrique que ce postulat?
Mais en attendant je travaille pour La Captivité. Mais ce statu quo n’est pas éternel, je me le suis promis suffisamment de fois..
AMBITIEUX
Que cela soit pour grimper les échelons ou pour se rapprocher de La Captivité, à des fins personnels, Kairaku a toujours démontré une extrême ambition dans ce qu’il fait. Travaillant sans relâche et sans jamais réellement s’arrêter, cherchant à s’attirer des serviteurs et des fidèles autour de lui pour, un jour, devenir une calamité lui aussi. Après tout, quoi de mieux que le représentant de l’hédonisme pour devenir un dieu? Et puis dans l'ambition nait la manipulation. Quelle meilleure façon d’atteindre ce que l’on souhaite qu’en manipulant les “outils” avant de les jeter dès qu’ils sont usagés? Et en terme d’outils, tout peut en être un : un fléau faible et/ou idiot, des maîtres des fléaux avide de puissance ou même de simples personnes en détresse. Quoi de mieux qu’un magnifique mensonge pour faire tomber sous son charme les personnes qui se sentent inutiles? Et puis même si elles ne sont que de piètre valeur, il leur trouvera bien une utilité dans un de ses plans.
RANCUNIER
Kairaku sait se montrer extrêmement doux et suave, il sait aussi se montrer terriblement fourbe et violent envers ceux qui lui doivent quelque chose ou envers qui il a une rancœur. Disons simplement que si vous voulez vivre en bonne santé longtemps, il faut mieux l’avoir dans ses “amis” que dans ses ennemis.
ORGUEILLEUX
Pour décrire Kairaku on se doit de parler de son orgueil, de sa vanité, qui est l’une des choses les plus visibles chez lui. C’est simple, il est persuadé pouvoir devenir la cinquième calamité et pouvoir atteindre le rang de dieu. Il pense être bien supérieur à tous les humains existant, même s’il respecte (relativement) les maîtres des fléaux, mais il se sent aussi bien meilleur que les autres fléaux. C’est pour cette raison qu’il souhaite avoir une horde de fidèle à ses pieds
Hédoniste
Kairaku est l'incarnation même de l'hédonisme et donc de la recherche du plaisir dans toutes ses actions. Car oui, ce qui lui importe ce n'est pas en soit la puissance ou la gloire mais uniquement son propre plaisir personnel, mais dans un monde aussi cruel et violent que le sien il n'est pas possible de le chercher sans se préparer au pire. Il gagne donc en puissance dans l'unique but de se faire plaisir, il souhaite avoir des fidèle qui le vénèrent pour pouvoir se reposer quand il le souhaite ou s'adonner à ses envies et ses désirs, et devenir une calamité lui permettrait de prendre son pied chaque minute de son existence. Toute sa vie tourne autour de son plaisir personnel et rien d'autre.
Que cela soit pour grimper les échelons ou pour se rapprocher de La Captivité, à des fins personnels, Kairaku a toujours démontré une extrême ambition dans ce qu’il fait. Travaillant sans relâche et sans jamais réellement s’arrêter, cherchant à s’attirer des serviteurs et des fidèles autour de lui pour, un jour, devenir une calamité lui aussi. Après tout, quoi de mieux que le représentant de l’hédonisme pour devenir un dieu? Et puis dans l'ambition nait la manipulation. Quelle meilleure façon d’atteindre ce que l’on souhaite qu’en manipulant les “outils” avant de les jeter dès qu’ils sont usagés? Et en terme d’outils, tout peut en être un : un fléau faible et/ou idiot, des maîtres des fléaux avide de puissance ou même de simples personnes en détresse. Quoi de mieux qu’un magnifique mensonge pour faire tomber sous son charme les personnes qui se sentent inutiles? Et puis même si elles ne sont que de piètre valeur, il leur trouvera bien une utilité dans un de ses plans.
RANCUNIER
Kairaku sait se montrer extrêmement doux et suave, il sait aussi se montrer terriblement fourbe et violent envers ceux qui lui doivent quelque chose ou envers qui il a une rancœur. Disons simplement que si vous voulez vivre en bonne santé longtemps, il faut mieux l’avoir dans ses “amis” que dans ses ennemis.
ORGUEILLEUX
Pour décrire Kairaku on se doit de parler de son orgueil, de sa vanité, qui est l’une des choses les plus visibles chez lui. C’est simple, il est persuadé pouvoir devenir la cinquième calamité et pouvoir atteindre le rang de dieu. Il pense être bien supérieur à tous les humains existant, même s’il respecte (relativement) les maîtres des fléaux, mais il se sent aussi bien meilleur que les autres fléaux. C’est pour cette raison qu’il souhaite avoir une horde de fidèle à ses pieds
Hédoniste
Kairaku est l'incarnation même de l'hédonisme et donc de la recherche du plaisir dans toutes ses actions. Car oui, ce qui lui importe ce n'est pas en soit la puissance ou la gloire mais uniquement son propre plaisir personnel, mais dans un monde aussi cruel et violent que le sien il n'est pas possible de le chercher sans se préparer au pire. Il gagne donc en puissance dans l'unique but de se faire plaisir, il souhaite avoir des fidèle qui le vénèrent pour pouvoir se reposer quand il le souhaite ou s'adonner à ses envies et ses désirs, et devenir une calamité lui permettrait de prendre son pied chaque minute de son existence. Toute sa vie tourne autour de son plaisir personnel et rien d'autre.
1. Qu’est-ce que votre personnage pense des humains et du monde matériel ?
Les humains? Boh, on devrait pas les exterminer mais plutôt les utiliser, les rendre esclaves de nos désirs et de nos envies... après tout, c'est bien à cela qu'ils servent, non? Et puis pour le monde matériel... il a permit une variété d'émotions bien plus large et puissante donc il a son utilité.
2. Quelle est la vision de votre personnage sur l’histoire des sociétés occultes ?
Un ramassis de rats qui essayent tant bien que mal d'inverser les ordres de puissance... on finira par les écraser comme les cafards qu'ils sont. Les seuls que j'accepte volontiers sont les maîtres des fléaux car, eux, comprennent qui ils doivent vénérer.
3. Que pense votre personnage de l’Apocalypse et du grand esprit Taemanai ?
Taemanai et l'apocalypse? J'ai étonnamment pas grand chose à dire sur eux... je les préfères loin de moi c'est tout. Et j'espère être suffisamment puissant pour ne pas me faire exterminer le jour où ça va péter, si un jour ça doit arriver. Mais à part ça... Si, ils nous on permit de découvrir de nouvelles choses grâce à leur combat donc je peux les remercier j'imagine. J'espère juste que l'Apocalypse reste scellée encore un moment et que Taemanai continue ce qu'il fait à l'heure actuelle car il nous pose pas trop de problème
4. Est-ce que votre personnage est affilié à une des Calamités ? Si oui, laquelle et pourquoi ?
Bien sûr que je suis affilié à une calamité. A vrai dire, pas forcément pour longtemps, mon but principal n'est pas de servir La Captivité toute ma vie, mais faire partie d'un groupe est bien plus... simple pour l'instant. Et puis bon, elle est fascinée par de nombreux vices humains, comme le mensonge, le vol, l'escroquerie, l'addiction, et il s'avère que je suis particulièrement porté sur le plaisir dans toutes ses formes donc je me sens relativement proche de ce qu'elle ressent. Par contre pour son plaisir ultime... chacun ses kinks, mais la capture ne fait pas partie des miens. Mais bon, il faut bien que je fasse un effort pour pouvoir gagner du pouvoir
“S’il vous plaît arrêtez!” hurlait en gémissant ce pauvre vieil homme, en larme, rampant par terre comme un lombric apeuré. Il se traînait, dos au sol, ses bras poussant le sol pour s’éloigner de moi. Son visage se tordait de panique tandis qu’il reniflait à chaque respiration. Mais malgré ses efforts il n’arrivait pas à s’éloigner de moi tandis que je souriais à pleine dents. Mon pas était lent, comme pour lui donner l’espoir de s’enfuir alors qu’il n’en avait aucun. Il se mit à hurler quand il sentit le mur taper dans l’arrière de sa tête, terrifié par ce qu’il comprit à ce moment là
“Bah alors petit chat, as-tu enfin compris que tu ne pouvais pas fuir? Comme c’est touchant…” il assénait-je d’un ton moqueur en forçant sur le mot “pouvais”. Je le regardais droit dans les yeux avant de m’accroupir et de me pencher vers son visage avant de le caresser de ma main droite. Il était froid et tremblait comme la feuille d’un arbre durant un ouragan, et des larmes coulaient sans cesse sur son visage marqué par les affres du temps. Je m’arrêtais un certain temps, contemplant ses yeux d’un vert magnifique avant de poser ma deuxième main sur son autre joue. Il se débattait mais n’avait absolument pas la force de réussir quoi que ce soit, et surtout pas après ce que je lui avais fait. “Pité, je…je sais pas ce que vous voulez mais je ne sais rien” bégaya-t-il, terrifié de ce qui lui arrivait. Je le regardais tendrement quelques instants sans rien dire avant de lui chuchoter à l’oreille, l’air toujours aussi malsain “Tu me vois et tu n’es pas des nôtres… c’est déjà passible de mort chez moi, mon mignon”. Son gémissement de peur me fit éclater d’un rire sincère qui, de ce que je voyais, lui glaçait le sang. “Ou alors tu peux rejoindre mon culte, si tu veux bien abandonner les tiens” lui proposais-je sincèrement tout en attendant sa réponse. Je le vis réfléchir et, après quelques instants, répondre qu’il ne s'alliera jamais à des fléaux, ce à quoi je répondais en lui brisant la nuque d’un seul coup.Son corps s’effondra par terre, raide mort, et je repris mon chemin. ‘C’est quand même triste qu’un chaman soit assez faible pour mourir aussi facilement… il aurait été plus utile sur mon échiquier mais bon, il a choisi sa mort’ pensais-je en me rendant compte que j’avais bien assez fait souffrir notre ami pour que sa mort soit au moins utile en ressource exploitable, un nid d’afflictions étant présent non loin.
Mais c’était pas ça, ma mission du jour. Je Devais arrêter un exorciste qui enquêtait sur ce nid, d’où ma présence dans les ruelles de cette usine géante qu’est Tokyo. Je repris mon chemin vers le nid et je tendis une embuscade : il était sur un toit, et le seul moyen de le briser était d’y monter. J’attendais donc patiemment, tel un serpent devant un terrier, que cet exorciste arrive pour récolter sa douleur, sa peur et sa peine.
Tokyo, même à cette heure tardive, était encore bien vivante. Le son de voix et des voitures emplissait l’air de la même manière que l’odeur des rues. Les éclats de rire me fascinaient autant que la colère ou la peine de certaines de ces personnes, mais j’en remarquais une en particulier.
Cette jeune femme, la vingtaine, avait des cheveux de la couleur des plus belles flammes que la Terre n’ai jamais vu. Elle était au téléphone et pleurait à chaudes larmes, entourée par d’autres jeunes femmes du même âge ‘Sûrement ses amies’ pensais-je en me perdant dans cette scène, à la fois tragique et magnifique, et ce pendant plusieurs minutes. C’est le bruit de la porte qui me remet les idées en place : ma mission. Je me redressai pour observer qui arrivait, caché derrière une aération, et c’était bel et bien l’exorciste, accompagné d’un jeune adolescent. Une sourire se dessinait sur mon visage tandis que j’écoutais l’adulte expliquer le principe d’un nid d’afflictions et comment le détruire. A peine a-t-il détourné la tête que je fondis sur le jeune homme et le poussa dans le vide avant de repartir en arrière, éclatant de rire au moment même où le jeune hurlait de panique. L’exorciste tentait de prendre la main du jeune, mais c’était trop tard : sa mort était inévitable, et sa détresse nourrira bientôt La Captivité.
L’exorciste tournait la tête et son regard, noir, prouvait qu’il était fou de rage. D’un mouvement il sortit son sabre tandis que je fis un pas en arrière, lançant un mirage agressif envers lui. Il coupait la tête de cette image et il comprit trop tard la supercherie. Son corps fut projeté contre l’immeuble d’en face et son corps, inerte, s’écrasa plusieurs mètres plus bas dans un craquement terrifiant. Les hurlements d’une jeune femme brisa le silence de cette ruelle tandis que mon l’écho de mon rire raisonnait entre les murs. Puis, d’un simple geste, je fis claquer ma veste et je partis vers le Pandemonium, ayant fini ma mission.
Alors... Moi c'est Vaadhum, 24 ans, ça fait beaucoup trop d'années que je fais du jdr en tout genre. Sinon j'adore les jeux vidéos, le modélisme, l'art en général, je me suis mis au sport depuis peu et j'adore l'informatique et la linguistique (vive la linguistique et les langues). Et sinon vous ça va?