JUJUTSU KAISEN RPG///DOMAIN EXPANSION///ARC I : BIG BOOM THEORYPLATEFORME RP///ESPACE COMMUNAUTAIREIL EST TEMPS POUR VOUS D'ÉTENDRE VOTRE TERRITOIREJJK RPG
Qu'est-ce que JJK RPG ?
Jujutsu Kaisen est une œuvre jeune, parue en 2017, mais la critique et le public s’accordent pour dire qu’il s’agit déjà d’un nouveau classique du shônen. En un sens, il est le digne héritier de Hunter x Hunter ! Sauf qu’il se déroule dans le monde réel, à notre époque actuelle. Et c’est peut-être ce qui rend ce manga encore plus intéressant.

Sublimer le fantastique dans le shônen est la prouesse que réalise le manga de Gege Akutami. Nous avons choisi de prolonger cette proposition artistique. Jujutsu Kaisen RPG offre une expérience unique dans un univers original directement inspiré du manga éponyme et de notre monde actuel. À mi-chemin entre la sci-fi d’anticipation et l’urban-fantasy, nous faisons le choix de mettre en avant une uchronie à la fois punk et spirituelle. Un monde qui ressemble à notre futur proche et qui propose une nouvelle visite des thèmes abordés par Jujutsu Kaisen. Plus qu’un RPG, c’est un récit philosophique interactif qui est proposé.

Trois histoires entremêlées, trois sociétés superposées : celle des profanes, qui ne maîtrisent pas l’énergie occulte ; celle des exorcistes, qui maîtrisent et contrôlent l’énergie occulte ; celle des fléaux, êtres malfaisants constitués d’énergie occulte.

Neuf factions sont représentées à travers les différents mondes. Des tensions nombreuses apparaissent et persistent entre elles, mais une menace commune les met toutes sur le même niveau de danger : le retour du plus grand fléau de tous les temps, communément appelé “la Fin”.

La société des profanes :
  • L’Empire du Nouveau Japon, devenu une dictature après la crise économique mondiale de 2025, a un contrôle total sur sa population et possède de nombreuses polices

  • Insidious, considéré comme un cyber-État, est une organisation secrète de hackeurs qui s’est emparé des Internets

  • La société exorciste :
  • L’Orthodoxie exorciste, secte blanche, est une institution bouddhiste ancestrale qui gère l’énergie occulte au Japon et plus largement en Asie ; elle produit les écoles, les diplômes d’exorcistes et fonctionne sur l’autorité des 7 clans exorcistes.
  • L’Eglise Noire, secte noire, rassemble des Maître des Fléaux révolutionnaires qui luttent contre l’Orthodoxie et l’Empire du Nouveau Japon en perpétrant des attentats terroristes dans les grandes villes.
  • La Cabale de l’Harmonie, dont le nom n’est même pas assuré, est une mystérieuse secte noire shintoïste qui serait en train de s’infiltrer dans les différents sphères de pouvoir.

  • La société occulte (fléaux) :
  • La Pénurie est un fléau né de la peur du manque. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Indonésie et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • L’Épidémie est un fléau né de la peur de la maladie. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Inde, une partie de l’Amérique du Sud et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Captivité est un fléau né de la peur de l’emprisonnement et de l’esclavage. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest, et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Guerre est un fléau né de la peur du conflit. Elle forme un empire occulte qui règne sur la Russie, la Chine, l’Europe de l’Est et une partie du Japon et cherche à se répandre.

  • Que ce soit dans le monde matériel ou dans les mondes occultes, tous ces groupes se vouent, chacun à leur manière, à l’extension de leur territoire. Les joueurs auront donc tout le loisir de venir impacter ces intrigues en mouvement : aider les factions, devenir leurs chefs, les détruire, en créer de nouvelles… en prévision des troubles à venir.
    TOPSITES
    news
    13/01/2024 : Période de pré-ouverture de JJK RPG.

    01/02/2024 : Début du mois d'ouverture de JJK RPG.

    24/03/2024 : Fin de l'ouverture de JJK RPG. Lancement officiel.

    01/04/2024 : Evènement d'initiative : DEAD CAN DANCE (Fête d'O-Bon, la Fin de l'Âge Mort).

    Totaux des votes des joueurspar Matière et MouvementVen 17 Mai - 4:21
    Listing avatar par Amon HakamoriJeu 16 Mai - 17:26
    Besoin d'un fournisseur ? [Feat Kei Tanabe]par Kei TanabeMar 14 Mai - 17:11
    Noryokuto - Finipar Temps et EspaceMar 14 Mai - 13:13
    Champ contre champ' [Yumi & Furegami]par Furegami MoriMar 14 Mai - 9:29
    Jésus transforme l'eau en vin [FB] | feat: Momoe Senatorepar Menocchio KoutetsuLun 13 Mai - 14:44
    F. PROGRESSION MOMOE SENATOREpar Momoe SenatoreDim 12 Mai - 19:33
    Whispers of the Rain [Feat Masaaki]par Lewis CrownDim 12 Mai - 18:34
    BAZAR PANDÉMONIAQUE DE L'ÉPIDÉMIEpar TamotsuSam 11 Mai - 15:07
    Dans l'ombre des fléaux ~ ft. Momoe & Keisuke [MISSION]par Keisuke SakamotoJeu 9 Mai - 17:15
    FT - Kei Tanabepar Matière et MouvementMer 8 Mai - 1:56
    F. PROGRESSION TSUYOSHI SAITOKUpar Tsuyoshi SaitokuDim 5 Mai - 20:52
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    799 €

    Kamo Rebecca
    Professeur à Tokyo
    Rang :
    1
    PI Investis :
    0
    PI Restants :
    0
    Description Brève :
    Légère et détendue, a le rire facile et le sourire en permanence afin de cacher ses doutes. Elle aime et ne s'en cache pas. Elle regrette et ça se devine dans son regard. Mais elle avance parce qu'elle n'a pas le choix.

    ♧ rousse ♧ prof depuis cinq ans ♧ grain de folie ♧ met l'ambiance en cours ♧ se fait sermonner à cause de ses mauvaises idées ♧ conscience de la mort et de la finalité des exorcistes ♧ s'assure que ses élèves deviendront plus forts qu'elle afin qu'ils survivent le plus longtemps possible ♧
    Messages :
    7
    Ryos :
    2350
    Fragments d'Emotions :
    0
    Localisation :
    Tokyo
    Professeur à Tokyo
    Sam 3 Fév - 10:33




    Kamo Rebecca

    28 ans
    Exorciste
    Rang 1
    Orthodoxie




    OBJETS DE DÉPART
    · Objet d'identification à l'Orthodoxie
    · Armes blanches : Manriki-gusari + Saï
    · Relique éphémère : Clef du Sacré.






    Situation actuelle
    Professeur 2ème année
    Depuis cinq ans, Rebecca est professeur à l’Académie de Tokyo et elle gère principalement les classes de deuxième année mais apporte son soutien à ses collègues en première et troisième année s’ils en ont besoin. Disons qu’elle est plus à l’aise avec les matières de seconde année.





    Psychologie
    L'alcool ? Non c'est de l'eau dans son verre. Ou du thé. Jamais d'alcool ô grand jamais ! Ses joues sont rouges ? Non, ce sont simplement des tâches de maquillage ou à cause de la chaleur.

    Rebecca est une professeur exemplaire, sérieuse et appliquée. Quelle idée que de l'imaginer se bourrer pendant ses cours. Elle ne le fait jamais. Sauf lorsqu'il est question de passer de la théorie à la pratique. L'usage veut que les aînés montrent l'exemple et si boire en pleine journée est loin d'être louable, c'est là la seule chose qu'on peut lui reprocher.

    Rebecca est travailleuse, pédagogue et à l'écoute de son entourage. Que ce soient des adultes ou des enfants, elle se montre bienveillante et ouverte lors des échanges. Elle ne prétend pas avoir réponse à tout ni pouvoir aider tout le monde mais elle essaye. Parce qu'être bon envers les autres même ceux qui se moquent de son sang impur et étranger, c'est être fort.

    La force d'aimer qu'importe qui, la force de rester digne qu'importe la situation, la force de sourire qu'importe le danger, la force de rire qu'importe l'avenir. Ce sont des qualités qui la font briller parce qu'elle est une femme d'espoir et d'optimisme qui ne sait pas abandonner. Rien à voir avec de l'impulsivité ou une quelconque tendance suicidaire, Rebecca ne conçoit pas la défaite quand bien même son adversaire est plus fort qu'elle.

    Parce que dans ce bas monde, la défaite signifie la mort.
    Chaque combat peut être le dernier.
    Chaque fléau peut devenir son meurtrier.

    Consciente de ce fait, Rebecca attache beaucoup d'importance à la survie et si elle est devenue professeur c'est avant tout pour apprendre cela à ses élèves. Elle veut qu'ils soient capables de se protéger contre n'importe quel fléau et qu'ils puissent vivre même si c'est dans la fuite. Parce qu'une fois mort, il ne reste que les regrets et les remords.

    Malgré ce quotidien sombre, Rebecca est quelqu'un de décontracté qui ne se prend pas la tête et savoure les plaisirs simples du quotidien. Elle aime pimenter sa vie en faisant de nouvelles expériences et découvertes mais rester dormir plus de douze heures après une gueule de bois lui plaît tout autant. Elle peut aussi danser dans des boîtes de nuit sans se soucier de rien. C'est une personne énergique qui s'ennuie dans la routine.

    Pourtant l'enseignement ne l'a jamais ennuyé. Chaque élève est différent et mérite qu'elle prenne le temps de le former correctement. Elle est douce et pétillante, positive et encourageante, tendre et maternelle. Rebecca possède un fort instinct de protection envers ses cadets. Elle est résolue à les soutenir qu'importe le danger. Les couver sans les emprisonner car le but est qu'ils puissent voler de leurs propres ailes.

    C'est quelque chose qu'elle a longtemps désiré. Être libre et indépendante. Pouvoir faire ce qu'elle veut sans se soucier du regard des autres, agir comme bon lui semble. Cependant, la réalité l'a rattrapé et de nombreuses chaînes l'empêchent de s'envoler. Les responsabilités des adultes l'incommodent. Elle ne peut rien faire contre. Alors elle a renoncé pour mieux se concentrer sur ce qui est important à ses yeux.

    Elle a renoncé à vivre une romance basée sur l'amour. Les exorcistes ne peuvent espérer cela. Elle a renoncé à sa liberté si précieuse afin de remplir son rôle de femme et devenir une épouse parmi d'autres. Cependant, il y a une personne pour qui elle désire toujours se battre et ne jamais rien lâcher. Il existe une personne qu'elle a adoptée et qu'elle ne compte jamais trahir. Depuis qu'elle a pris cette décision, son fils, Yahiru est le moteur de ses choix, ils sont faits pour lui et pour son futur.

    Et Dieu seul sait à quel point personne ne doit poser le doigt sur lui. Dieu seul connaît la colère qui peut étirer ses traits, le regard noir qui s'intensifie lorsqu'elle le voit mal en point. N'importe quelle lionne serait furieuse de voir son petit blessé. Alors un conseil, ne vous en prenez pas à sa progéniture. Car elle sortira crocs et griffes pour le défendre. Qu'importe l'adversaire.

    ● n'a pas eu l'occasion de beaucoup parler avec son mari. ● il est soit disant trop occupé pour le moment. ● en vérité, elle le fuit car elle pense qu'il a honte d'elle. ● a tendance à transporter de l'alcool dans des gourdes d'eau pour qu'il soit impossible de savoir ce qu'elle boit ● aime utiliser des expressions avec le mot “tourner” ● aime boire, danser et chanter ● plutôt danse latino que danse traditionnelle japonaise ● a son permis et possède une moto qu'elle adore chouchouter ● est surnommée Beckie ou Becky les deux fonctionnent ● mesure 1m74 ● sa couleur préférée est le rouge ● ses fleurs préférées les camélias ● aime le langage des fleurs ● a arrêté de fumer après le lycée pour être une bonne tutrice ● à l'époque, elle acceptait tout type de boulot pour faire rentrer de l'argent, une période chaotique de sa vie mais elle ne la regrette absolument pas ● du genre à coller son fils et lui mettre la honte en public surtout s'il lui demande d'arrêter ● fait un CV de toutes les filles qui entrent en contact avec son fils ● n'a retenu aucune candidature pour le moment ● possède de vieux albums photos qui comptent énormément à ses yeux. ●






    Questions d'affiliation
    → Liste de questions pour les Exorcistes :
    1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ?
    Rebecca a toujours vécu au contact de l’énergie occulte, a toujours vu les fléaux et a appris à les exorciser. C’est une énergie comme une autre, qu’il est important de contrôler pour qu’elle ne nous échappe pas. C’est une force qui permet de protéger ses proches et rien qu’à ce titre, Rebecca est satisfaite de pouvoir la maîtriser.

    2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Empire ?
    Rebecca ne porte pas beaucoup d’intérêt à la gestion de l’Empire et pour cause, elle est plus occupée à enseigner à l’Académie qu’à se poser des questions de politique. Si quelqu’un lui demande son avis, elle haussera les épaules et prendra une gorgée supplémentaire d’alcool. C’est au-dessus de ses préoccupations actuelles. Et de toute façon, ce n’est pas comme si elle pouvait y changer grand chose.

    3. Comment votre personnage se positionne-t-il au sein des conflits de politiques intérieurs dans l’orthodoxie (clans, enjeux de l’administration : réformisme ou conformisme, etc.) ?
    Rebecca ne porte pas beaucoup d’intérêt aux conflits dans l’Orthodoxie. Ses parents ne sont pas issus d’un clan et n’ont pas une grande place dans la société occulte. Il en est de même pour elle, elle n’a aucune preuve à faire et personne ne s’attend à ce qu’elle ait un avis intelligent sur la situation. Cependant, elle en veut à ses parents de l’avoir mariée sans prendre en compte ses sentiments et elle en veut aux Kamo indirectement. Concernant les autres clans, c’est comme si comme ça, dépendant des individus…





    Test-RP Libre

    Résumé:

    Bien avant la naissance de Rebecca, une femme venant de l’étranger est arrivée sur le pays du soleil levant. Commerçante sous couverture, elle était en réalité une exorciste mal formée. Ses parents, des gens ordinaires, ne comprenaient rien à l’énergie occulte et aux “monstres” qu’elle voyait dans les rues. Autour d'elle, personne ne pouvait l'aider, on lui conseillait uniquement de se rendre dans un hôpital psychiatrique… Son entourage la prend pour une folle et elle n'a aucun moyen de leur prouver le contraire puisqu'ils ne voient pas les monstres, eux.

    Puisque dans son pays, rien ne peut l'aider, elle se met à réfléchir où aller. Quoi de mieux que le Japon en ce qui concerne les histoires qui font peur ? C’est bien connu, ils ont des centaines de légendes urbaines et aussi de nombreux prêtres et bouddhistes. La jeune adulte pleine d'espoir, pensait naïvement se faire aider par un spécialiste.

    Cependant, avec ses cheveux roux et son accent bizarre, elle n’attirait pas la sympathie des habitants. Les moines n’ont pas pu l’aider concernant son problème. Personne ne le pouvait. Ici ou ailleurs, elle restait différente et étrange. Marchant dans les rues de Tokyo, Lily se heurte à un Rideau, sans savoir de quoi il s’agit. Elle tapote dessus avec son poing, une silhouette en sort au même moment.

    Un homme vêtu de noir avec un katana. Il mesure bien un mètre quatre-vingt ce qui est relativement grand pour un japonais. Le regard sévère, la mine fermée. Lily la rouquine essaye maladroitement de lui demander ce que c’est ce truc qui vient de disparaître (le rideau). Il l’ignore. Elle ne connaît personne à part lui alors elle prend l’intelligente décision de le stalker.

    Jour après jour, elle lui pose les mêmes questions en lui parlant de sa particularité même s’il a l’air de s’en moquer et continue ses allées et venues dans les rues. Il la sème, elle le retrouve et il ne lâche pas un mot. Ce n’est qu’après trois semaines de calvaire qu’elle parvient enfin à avoir une réponse.

    « - Je vois des monstres qui flottent dans les airs. Je vous l’ai déjà dit, hier, avant hier et…
    - Ce sont des fléaux.
    - Ah, vous savez parler finalement. Je commençais à me dire que-
    - Vous parlez trop.
    - Et vous pas assez.
    - Quoiqu’il en soit, si vous les voyez c’est que vous pouvez manipuler l’énergie occulte.
    - Aaah… Je vois… »

    L’homme pousse un lourd soupir d’ennui, ne cachant pas son manque de motivation à l’idée de l’instruire. Et pourtant, il s’y plie parce qu’elle ne lui accorde pas une minute de répit. Il fait moins de missions pour enseigner ce qu’il sait à cette adulte qui a son âge et n’a de toute évidence aucune idée de ce qu’est le monde occulte. Ce qui était un calvaire devient peu à peu un passe-temps agréable. Ils partagent des journées à parler d’autre chose que de l’entraînement et les fléaux, ils se découvrent peu à peu.

    [...]

    Daiki est un homme aussi grand que droit. Il sourit peu et s’énerve rarement. Lily est une femme qui apprend à se taire et à se comporter comme le veut l’étiquette. Elle efface ce qu’elle était pour convenir à celui qu’elle va épouser. Elle se teint les cheveux de bruns, porte des lentilles marron et devient une parfaite épouse. Elle apprend à servir le thé, à masser les épaules de son mari, à faire la conversation. Tout se passe bien et de leur union, naîtra une fille aux cheveux de feu et aux yeux ardents.

    A sa naissance, elle prend le nom de famille de son père, Sawada. Son prénom sera Rebecca. A cette demande, Daiki a froncé des sourcils, signe qu’il désapprouve l’idée. Ce n’est pas un prénom japonais. Elle sera regardée de travers, elle sera différente des autres, elle sera méprisée. Lily a insisté.

    « Pour toi, je me suis teins les cheveux afin que personne ne rit de ta femme, pour toi, j’ai appris à cuisiner tout un tas de plat, j’ai aussi appris à préparer le thé, à laver l’engawa, à mettre des kimono. Ne peux-tu pas me laisser l’honneur d’être sa mère et de l’appeler ainsi ? »

    N’ayant pas envie de se disputer, il a accepté en espérant que tout irait bien. Pour le rassurer, sa femme a pris soin de leur enfant et y a consacré tout son temps. Dès son plus jeune âge, Rebecca a été formatée à la pensée japonaise. Sa mère a été très autoritaire afin de rentrer dans le moule. “Fais ci, ne fais pas ça.” “Ne parles pas trop.” “Ne fais pas preuve d’originalité.” “Ne te différencie pas.” “Attaches tes cheveux, teins-les de bruns pour que personne ne voit de mèches rousses.” Et à chaque fois, c’est avec regret qu’elle l’emmenait se faire teindre les cheveux. Lily se demandait ce qu’elle faisait à sa fille. Elle la conduisait à vivre la même vie qu’elle.

    Sauf que sa fille lui ressemblait plus que de raison. Rebecca n’était pas un esprit domptable et calme. A ses douze ans, sa crise d’adolescence a explosé. Elle ne voulait pas se teindre les cheveux, elle a arrêté de le faire. Ses mèches orangées ont surpris ses professeurs qui ont demandé des explications. C’est sa couleur naturelle, elle ne peut rien y faire ! C’est sa seule façon de se rebeller alors, elle ne se prive pas de le faire !

    Plus ses parents tentent de la contraindre et plus elle fait sa tête de lard. Elle ne veut pas renier ce qu'elle est qu'importe comment les autres le prendront. Si elle a envie de parler franchement, elle le fera. Si elle a envie de casser les codes, elle le fera. Quitte à perdre son cercle d'amis, elle ne pense pas aux conséquences.

    Bien loin d'être mise à l'écart par l'entièreté de sa classe, une partie continue de la côtoyer. Ils apprécient sa spontanéité et son assurance. Son changement de look n'est pas si mal pris. Cependant, les professeurs se montrent plus sévères à son égard et la tiennent à l'œil. Ils aiment lui donner des heures de colles ou des punitions en plus afin qu'elle ne soit pas une mauvaise influence sur les autres.

    Rebecca a conscience que ses parents ne sont pas des humains ordinaires comme les autres. Elle a appris à vivre avec les fléaux têtes de mouches qui sont inoffensifs et les ignore. Sa maîtrise de l'énergie occulte lui permet de leur mettre des pichenettes pour les faire disparaître et ça s'arrête là. Elle n'est pas une héroïne et ne cherche pas à le devenir.

    Ses études se poursuivent. En parallèle, elle est dans le club de basket et de kendo. Elle aime les danses comme le tango, le flamenco et la salsa. Sa mère lui a insufflé ces pratiques. Par le passé, Lily dansait beaucoup et elle n'a pas perdu ses réflexes. Elle a gardé des CDs, un lecteur MP4 et quelques cassettes de l'époque qui lui permettent de continuer d'écouter les mêmes musiques encore et encore. Avec sa fille, elle danse avec joie, à l'abri des regards. Ce sont des restes de ses origines d'Europe bien qu'elle ne puisse pas trouver facilement des ouvrages et vidéos à ce sujet, elle n'a rien perdu de son habileté. Et Rebecca admire ce côté de sa mère.

    A ses quatorze ans, au cours d'une soirée karaoké, elle boit de l'alcool sans faire exprès ; le serveur s'est trompé de salle. Son sort s'active et ses camarades commencent à tourner sur eux-mêmes sans s'arrêter. Rebecca est folle de joie en découvrant sa particularité. Elle a envie d'en tester les limites mais…

    Les mineurs ne sont pas censés boire de l'alcool. Surtout au Japon. Ses parents ne l'autorisent bien évidemment pas à boire sous prétexte que cela déclenche son sort unique et elle ne peut pas acheter de l'alcool parce qu'elle est mineure. C'est la loose totale.

    Au moins, ses parents lui enseignent tout ce qu'il y a à savoir sur le monde occulte et les exorcistes. Le soir après les cours, elle a le droit à des cours supplémentaires. Elle y met du sien, s'intéresse à ce monde qu'elle n'a que côtoyer de loin.

    A la fin du collège, Rebecca obtient son diplôme et rejoint le lycée d'exorcistes de Tokyo. De ses seize à dix-huit ans, elle fait la route en transports en commun pour s'y rendre. Elle préfère cela qu'être à l'internat. Ceci dit, comme elle habite loin de l'établissement se trouvant à Shinjuku, ses parents lui achètent un appartement en plein centre ville. C'est le début de son indépendance -ou pas puisque sa mère lui fournit tous ses repas et passe régulièrement prendre de ses nouvelles.

    Au lycée, Rebecca a la permission de prendre un peu d'alcool afin de montrer ses capacités avec son sort mais uniquement de manière modérée et surveillée. Les doses minimes ne lui permettent pas d'exploiter pleinement son don mais c'est assez pour montrer qu'elle n'est pas là pour faire beau. Les cours sont difficiles, elle n'est pas la meilleure des élèves mais elle a le plus d'entrain et lorsqu'il s'agit de se battre contre des fléaux, rien ne lui fait peur.

    Rebecca est pleine d'espoir, d'amour et d'optimisme. Elle s'épanouit dans le monde occulte. Entre cours et mises en pratique, le temps défile et les premières semaines passent vite. En rentrant des cours, les fléaux têtes de mouches virevoltent ici et là. Ils polluent l'air de Tokyo, quelle plaie ! A moins que cette impression ne vienne de la pollution ? Elle secoue sa main devant elle pour les chasser, aperçoit un enfant qui court et tente de frapper maladroitement les moustiques, sans grand résultat.

    Rebecca laisse échapper un rire.

    « Ahah ! C'est comme s'il pouvait les voir !... ! »

    Ses yeux s'écarquillent quand elle réalise que c'est le cas. Rebecca écrase sa cigarette dans un cendrier, sort une sucette qu'elle glisse entre ses lèvres pour camoufler l'odeur de la nicotine.

    Elle s'approche de l'enfant, murmure pour ne pas l'effrayer.

    « Ce n'est pas comme ça que tu vas le faire disparaître. »

    L'énergie occulte se rassemble autour de ses doigts, elle vient donner une pichenette au fléau ridiculement faible qui meurt instantanément. Rebecca vient s’accroupir en face de l'enfant pour être à son niveau. Son sourire est taquin, ses paupières plissées, lueur malicieuse.

    « Alors ? Tu veux que je t'apprenne ? »

    Ce fût sa première rencontre avec Yahiru, un gamin paumé dans les rues. Tous les soirs, Rebecca le cherche, parfois il apparaît, d'autres fois non. Il ne lui fait pas confiance, elle le ressent. Même en lui apportant de la nourriture et en lui enseignant les bases de l'énergie occulte, cela ne suffit pas à briser cette épaisse armure qui protège son cœur.

    Quand il pleut, par réflexe, elle prend un second parapluie, au cas où.

    Les mois sont passés jusqu'à ce que les premiers flocons de l'hiver ne tombent. Rebecca lui a proposé de l'héberger de peur qu'il ne lui arrive quelque chose à errer dehors. Avec le froid et les températures négatives, il ne tiendrait pas une semaine. Il risquait gros à refuser. M'enfin, pas dit qu'il accepte. Elle pousse un soupir, lève les bras au ciel sachant qu'il ne changera pas d'avis.

    « Tu ne veux pas ? Ah, je m'y att-... Hein…? Tu acceptes ? Vraiment ? »

    Les neuf mois à sympathiser n'auront pas été vains ! Rebecca se retient de ne pas crier sa joie. A la place, pour l'occasion, elle a cuisiné quelque chose. Ce n'est pas parfait mais le voir manger avec appétit lui donne envie de continuer. Sa main s'approche de lui pour venir caresser ses cheveux sombres alors qu'elle repose sa joue dans sa main. Et elle ose lui poser des questions longtemps tues.

    « Yahiru, moi c'est Rebecca, je te l'ai déjà dit mais bon… Tu n'as pas de maison ? Et tes parents, où sont-ils ?... »

    Le silence comme réponse lui fait comprendre que ses suppositions sont certainement exactes. Alors, elle ferme ses paupières et lui offre un nouveau sourire.

    « Alors, tu peux rester ici. C'est petit mais ce n'est pas trop mal ! »

    Et c'est ainsi que leur vie de famille a commencé. La journée, les cours. La fin d'après-midi, un emploi à mi-temps dans un konbini pour gagner une poignée de billets. Le soir, faire ses devoirs, préparer le repas, apprendre à Yahiru à mieux s'exprimer, le faire étudier et continuer de l'aider avec son énergie occulte.

    Le lendemain, rebelotte. Le week-end, elle récupère, allongée dans son lit jusqu'à midi. Parfois, les cernes creusées sous ses yeux, les cheveux en épis, elle fixe le plafond pendant de longues heures.

    « Je ne vais pas y arriver. »

    Et quand elle observe le visage innocent de l'enfant, un regain d'énergie la gagne et elle se lève d'un bond.

    « Qu'est-ce que tu dis Becky ?! Tu ne peux que réussir !! »

    Rebecca attrape une canette de bière, la boit d'une traite et elle repart pour un tour. Sous ce rythme chaotique, elle se rend compte que deux ans se sont écoulés. La fin d'année scolaire approche, elle ne s'inquiète de rien. Si ce n'est un détail qu'elle n'avait pas encore remarqué. Ses mains se posent sur les épaules du garçon.

    « On n’a jamais fêté ton anniversaire ! C'est une blague !... Quand est-ce que tu es né ??? Il faut qu’on trouve une date. C'est le jour de ta naissance, ça se fête… Hum… Alors en avril ? Le jour où je t’ai trouvé, ça te convient ? »

    A partir de ce jour, Rebecca n'a plus jamais manqué son anniversaire. Même en retard, elle était toujours présente et mettait les bouchées doubles pour le surprendre.

    A ses dix-huit ans, son diplôme en poche, elle a officiellement adopté Yahiru et il porte son nom. Quelque chose que ses parents n'ont pas apprécié découvrir. Son père a cherché à la dissuader, n'approuvant pas cette décision immature. Sa mère reste sur la réserve, elle s'efface peu à peu dans cette relation…

    « - Tu n'en fais qu'à ta tête… Est-ce que tu y as sérieusement réfléchi ?
    - Ça fait trois ans que j'y pense et déjà deux ans que je m'occupe de lui.
    - Je ne financerai pas cette mascarade.
    - Je sais. Il s'agit de ma responsabilité. »

    La confrontation passée, Rebecca fait le point sur ses dépenses, tournant le stylo entre ses doigts. Les frais de l'appartement sont ce qui coûtent le plus cher… Pas le choix. Son salaire d'exorciste est trop juste. Elle n'a pas encore un grade suffisant pour vivre uniquement avec. Alors elle va devoir continuer de bosser à mi-temps dans d'autres endroits.

    Concernant sa zone d'action, elle refuse toutes les missions qui l'emmeneraient trop loin. Elle ne peut pas laisser Yahiru seul. Elle ne peut pas risquer de faire n'importe quoi et de perdre la garde ou son statut de tutrice.

    Enfin, rien n'est bien compliqué. Il lui suffit de faire comme avant. Rien ne va changer dans leur quotidien. Au contraire, être exorciste à temps plein va lui simplifier la vie.

    [...] 18 à 20 ans.

    Ah. Qu'elle a été naïve. Ça n'a rien de facile. C'est même bien difficile de garder ses esprits. A chaque mission, Rebecca plonge dans la noirceur du monde occulte. Les fléaux sont tous plus horribles et sadiques les uns que les autres. Elle est aspergée du sang de ses paires tuées avec cruauté. Ils en rient, à gorge déployée. Et les exorcistes hurlent de terreur, appellent à l'aide. Les pertes sont énormes. La victoire amère.

    Pfiou.
    Soupir de soulagement.
    Elle survit un jour de plus dans cet enfer.

    Avant de rentrer, elle n'oublie jamais de se laver et changer de vêtements. Le sang disparaît dans le siphon de la douche, les taches sur ses vêtements persistent de temps en temps. Elle essaie de faire croire que tout va bien. Que rien ne l'affecte. C'est ça être exorciste.

    Heureusement, quand elle rentre, il est là. Il l'attend avec ses yeux plein d'innocence et de naïveté. Parfois, elle passe à autre chose, lui sourit car ça aurait pu être pire. D'autres fois, elle s'écroule et le serre contre elle, pleurant l'espace d'une soirée. C'est le temps de s'y habituer. Juste une question de temps…

    [...] 21 à 23 ans.

    A ses vingt-et-un ans, Rebecca change de voie. Elle se dirige vers l'enseignement en tant que professeur à l'essai. Elle assisté une classe en tant que soutien le temps de se faire la main à l'Académie de Tokyo. Elle apprend à gérer une classe, à alimenter les cours. Ce métier est une bouffée d'air frais, loin de la désillusion qu'elle a vécu en tant qu'exorciste. Ses journées sont mieux rythmées et elle oublie peu à peu à quel point les fléaux sont barbares.

    C'est mieux.

    Pour elle et pour sa santé mentale. Même s'il arrive que certains élèves trop téméraires perdent la vie, la majorité peut être secourue en étant attentive. Elle peut protéger des vies et apprendre à la jeunesse à se défendre correctement.

    Enseigner devient sa vocation et une fois plus mûre, en âge de gérer ses propres cours, Rebecca devient officiellement une professeur de l'Académie. Sa candidature a été acceptée, elle est folle de joie, s'apprête à fêter ça avec son fiston, commencer sa carrière mais-

    « Nous t'avons trouvée un mari. Les négociations ont pris du temps mais à force, nous avons pu conclure un accord avec les Kamo. Tu deviendras une épouse d'un des leurs et pourra accomplir ton rôle. Cela te permettra de construire un avenir solide pour toi et Yahiru. De plus, blabla… … »

    Ah. Son regard s'éteint. Son sourire s'efface. C'est plus douloureux que de se faire trancher la tête. Le choc lui enlève toute capacité à articuler un mot. Est-ce ainsi que la vie est faite ? De hauts et de bas maudits ? A chaque bonheur, la réalité vient la frapper et elle ne peut s'échapper. Tout a été décidé.

    Elle l'explique à son enfant, d'une voix monotone, d'un sourire fade et résigné. Elle préfère qu'il préserve son nom et ne soit pas le jouet des puissants. Elle préfère qu'il garde sa liberté, elle qui se la voit retirer.

    Rebecca se rend chez ses parents afin d'être apprêtée, kimono aux milles nuances de rouge, ses cheveux tirés en un chignon serré, sa peau poudrée de blanc, un trait noir étire son regard. Elle ne se souvient plus de son visage. Ils ont l'air aussi enchanté l'un que l'autre. Deux marionnettes contrôlées par les souhaits de leurs parents.

    C'est ironique.

    Ses parents ont pu se marier par amour mais ne lui ont pas offert cette possibilité. Ils ont choisi intentionnellement les Kamo, résidants à Nagoya pour s'opposer à son métier sur Tokyo. Ils espèrent que ses responsabilités en tant qu'épouse vont la cloîtrer chez elle. Tout a été finement préparé.

    Qu'est-ce qui est le plus dur à encaisser ? Le fait que sa mère ne s'y soit pas opposée ou le fait que son père soit persuadé d'agir dans son intérêt ? C'est douloureux. Mais au moins, à défaut d'avoir pu choisir son mari, elle a pu choisir son fils.

    Il n'a que treize ans.
    Si jeune et elle doit le laisser seul ?
    C'est un crève-cœur.

    « Yahiru… Il faut que je te parle. »

    Rebecca attend qu'il le rejoigne et s'installe.

    « Je vais me marier avec un membre du clan Kamo. J'aimerais te promettre que rien ne va changer mais… Je n'en sais rien. Je passerai autant que je le peux, je viendrai dès que tu auras besoin d'aide. Même si je ne vis plus avec toi, je resterai ta mère et cet appartement restera le tien. »

    Le mariage s'est déroulé dans l'année, traditionnel et solennel. La cérémonie se fait dans le calme et ce n'est qu'à la fin que les invités viennent les féliciter tour à tour. Son sourire est de circonstances, creux. Un peu comme le visage de son mari. Elle ne parvient pas à le déchiffrer. Il est si fermé. (Dépité ?). Peut-être est-ce seulement de la timidité ? (Du dégoût ?).

    Le soir, comme attendu, ils doivent partager la même chambre et le même lit en tant que jeunes époux. Cette constatation la fait lever les yeux au ciel. Pour deux inconnus qui se sont vus deux fois, ça va un peu vite.

    Pour alléger un peu l'ambiance suffocante, Rebecca tente de lancer la conversation.

    « Comme on est tous les deux dans le même bateau, autant bien s’entendre ! »

    Son sourire se veut jovial, sa main se pose sur son épaule pour attirer son attention. D'un geste brusque, il retire sa main, s'éloigne et la regarde avec un mépris flagrant. Effrayé ? Énervé ? Écœuré ? Elle ne sait pas.

    « Ne t’inquiètes pas, je ne m’imposerai plus auprès de toi. »

    Le message est passé.

    Rebecca se tiendra éloignée.

    [...] 24 à 28 ans.

    Afin de ne pas l'indisposer, Rebecca s'est tenue loin de son mari. Elle s'est concentrée sur ses cours et sa première année scolaire en tant que professeur… Et difficile de ne pas entrer en contact avec son époux quand celui-ci a décidé de la suivre et de travailler dans le même établissement.

    « Attends ?! T'es pas censé ne pas vouloir être dans la même pièce que moi ?!
    - Madame, vous dérangez les autres clients… »

    A défaut d'avoir une oreille pour l'écouter, Rebecca se rend dans les bars afin de boire et de raconter ses mésaventures au pauvre barman. Il faut dire que la situation lui échappe. Normalement quand on déteste quelqu'un, on ne cherche pas à travailler là où cette personne est non ? Ou alors c'est une forme de torture…? C'est trop bizarre… Et ça lui donne mal à la tête alors elle passe à autre chose.

    Le lendemain, la tête dans les choux, Rebecca pousse un soupir. Les jours défilent dans cette drôle d'ambiance. En plus de le croiser à l’école, il a emménagé en face de chez elle et Yahiru. Dès qu’elle ouvre la porte, elle tombe sur son visage inexpressif, il n’y a pas de meilleur réveil et de pire cauchemar avant de s’endormir. Finalement, presque rien n’a changé. Elle continue de vivre avec son fils et peut garder son poste de professeur. Elle a passé le permis moto afin d’avoir un moyen de transport et dans l’ensemble, elle est plutôt satisfaite de sa vie.





    Qui est le joueur derrière le personnage ?
    Avatar : Cynthia Moore - Great Pretender.




    Kamo Rebecca
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    Kamo Rebecca
    Professeur à Tokyo
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    Légère et détendue, a le rire facile et le sourire en permanence afin de cacher ses doutes. Elle aime et ne s'en cache pas. Elle regrette et ça se devine dans son regard. Mais elle avance parce qu'elle n'a pas le choix.

    ♧ rousse ♧ prof depuis cinq ans ♧ grain de folie ♧ met l'ambiance en cours ♧ se fait sermonner à cause de ses mauvaises idées ♧ conscience de la mort et de la finalité des exorcistes ♧ s'assure que ses élèves deviendront plus forts qu'elle afin qu'ils survivent le plus longtemps possible ♧
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    Professeur à Tokyo
    Dim 4 Fév - 20:33
    Bonsoir, c'est terminé

    Rebecca ♡ There is no remedy for love but to love more. Giphy
    Kamo Rebecca
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    Matière et Mouvement
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    — Le silence éternel de ces espaces infinis [...] ;
    — L'esprit préexiste à la matière. L'esprit habite chaque atome, chaque particule. L'esprit est la partition de l'Univers, la force immatérielle qui forge la réalité concrète. Il est... [...] ;
    — [...] serait donc approprié cette capacité à être, sans naissance et sans mort, et à demeurer, hors de l'espace et du temps ;

    Ce compte est le Maître du Jeu.
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    Lun 5 Fév - 23:18

    Bienvenue Rebecca Kamo!

     Une prof alcoolo ! Et bah elle est belle l’académie ! J’imagine pas la tête des élèves eheh !

    J’ai aimé découvrir ton personnage, marquée par l’impact d’une culture japonaise imposée à sa mère, puis à elle, et la manière dont elle a su s’en défaire mais pas totalement à travers ses cheveux, et son mariage ! Le lien avec Yahiru est aussi trop mims ! Hâte de voir cette joyeuse fêtarde en action et ... encore joyeux anniversaire à toi

    Tu es donc bien validée ! Félicitation !

    - Ringo  


















    Validée rang 1
    Le rang 1 t’es octroyé, comme demandé ! Un peu de puissance avec votre tequila sunrise ?

    Affiliée à l’Orthodoxie
    Prof exorciste à Tokyo, c’est une bonne situation ça ... ? Ouais, j’ai un doute ... mais félicitation pour ton affiliation !

    Objects et statut obtenus
    Objet d’identification de l’Orthodoxie
    Manriki-gusari (arme blanche)
    Tanto (arme blanche)
    Clef du sacré (relique éphémère)
    Les prochaines étapes

    1. Fiche technique.

    2. Fiche de progression.

    3. Mémoires.

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