JUJUTSU KAISEN RPG///DOMAIN EXPANSION///ARC I : BIG BOOM THEORYPLATEFORME RP///ESPACE COMMUNAUTAIREIL EST TEMPS POUR VOUS D'ÉTENDRE VOTRE TERRITOIREJJK RPG
Qu'est-ce que JJK RPG ?
Jujutsu Kaisen est une œuvre jeune, parue en 2017, mais la critique et le public s’accordent pour dire qu’il s’agit déjà d’un nouveau classique du shônen. En un sens, il est le digne héritier de Hunter x Hunter ! Sauf qu’il se déroule dans le monde réel, à notre époque actuelle. Et c’est peut-être ce qui rend ce manga encore plus intéressant.

Sublimer le fantastique dans le shônen est la prouesse que réalise le manga de Gege Akutami. Nous avons choisi de prolonger cette proposition artistique. Jujutsu Kaisen RPG offre une expérience unique dans un univers original directement inspiré du manga éponyme et de notre monde actuel. À mi-chemin entre la sci-fi d’anticipation et l’urban-fantasy, nous faisons le choix de mettre en avant une uchronie à la fois punk et spirituelle. Un monde qui ressemble à notre futur proche et qui propose une nouvelle visite des thèmes abordés par Jujutsu Kaisen. Plus qu’un RPG, c’est un récit philosophique interactif qui est proposé.

Trois histoires entremêlées, trois sociétés superposées : celle des profanes, qui ne maîtrisent pas l’énergie occulte ; celle des exorcistes, qui maîtrisent et contrôlent l’énergie occulte ; celle des fléaux, êtres malfaisants constitués d’énergie occulte.

Neuf factions sont représentées à travers les différents mondes. Des tensions nombreuses apparaissent et persistent entre elles, mais une menace commune les met toutes sur le même niveau de danger : le retour du plus grand fléau de tous les temps, communément appelé “la Fin”.

La société des profanes :
  • L’Empire du Nouveau Japon, devenu une dictature après la crise économique mondiale de 2025, a un contrôle total sur sa population et possède de nombreuses polices

  • Insidious, considéré comme un cyber-État, est une organisation secrète de hackeurs qui s’est emparé des Internets

  • La société exorciste :
  • L’Orthodoxie exorciste, secte blanche, est une institution bouddhiste ancestrale qui gère l’énergie occulte au Japon et plus largement en Asie ; elle produit les écoles, les diplômes d’exorcistes et fonctionne sur l’autorité des 7 clans exorcistes.
  • L’Eglise Noire, secte noire, rassemble des Maître des Fléaux révolutionnaires qui luttent contre l’Orthodoxie et l’Empire du Nouveau Japon en perpétrant des attentats terroristes dans les grandes villes.
  • La Cabale de l’Harmonie, dont le nom n’est même pas assuré, est une mystérieuse secte noire shintoïste qui serait en train de s’infiltrer dans les différents sphères de pouvoir.

  • La société occulte (fléaux) :
  • La Pénurie est un fléau né de la peur du manque. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Indonésie et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • L’Épidémie est un fléau né de la peur de la maladie. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Inde, une partie de l’Amérique du Sud et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Captivité est un fléau né de la peur de l’emprisonnement et de l’esclavage. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest, et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Guerre est un fléau né de la peur du conflit. Elle forme un empire occulte qui règne sur la Russie, la Chine, l’Europe de l’Est et une partie du Japon et cherche à se répandre.

  • Que ce soit dans le monde matériel ou dans les mondes occultes, tous ces groupes se vouent, chacun à leur manière, à l’extension de leur territoire. Les joueurs auront donc tout le loisir de venir impacter ces intrigues en mouvement : aider les factions, devenir leurs chefs, les détruire, en créer de nouvelles… en prévision des troubles à venir.
    TOPSITES
    news
    13/01/2024 : Période de pré-ouverture de JJK RPG.

    01/02/2024 : Début du mois d'ouverture de JJK RPG.

    24/03/2024 : Fin de l'ouverture de JJK RPG. Lancement officiel.

    01/04/2024 : Evènement d'initiative : DEAD CAN DANCE (Fête d'O-Bon, la Fin de l'Âge Mort).

    Totaux des votes des joueurspar Matière et MouvementVen 17 Mai - 4:21
    Listing avatar par Amon HakamoriJeu 16 Mai - 17:26
    Besoin d'un fournisseur ? [Feat Kei Tanabe]par Kei TanabeMar 14 Mai - 17:11
    Noryokuto - Finipar Temps et EspaceMar 14 Mai - 13:13
    Champ contre champ' [Yumi & Furegami]par Furegami MoriMar 14 Mai - 9:29
    Jésus transforme l'eau en vin [FB] | feat: Momoe Senatorepar Menocchio KoutetsuLun 13 Mai - 14:44
    F. PROGRESSION MOMOE SENATOREpar Momoe SenatoreDim 12 Mai - 19:33
    Whispers of the Rain [Feat Masaaki]par Lewis CrownDim 12 Mai - 18:34
    BAZAR PANDÉMONIAQUE DE L'ÉPIDÉMIEpar TamotsuSam 11 Mai - 15:07
    Dans l'ombre des fléaux ~ ft. Momoe & Keisuke [MISSION]par Keisuke SakamotoJeu 9 Mai - 17:15
    FT - Kei Tanabepar Matière et MouvementMer 8 Mai - 1:56
    F. PROGRESSION TSUYOSHI SAITOKUpar Tsuyoshi SaitokuDim 5 Mai - 20:52
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    Jiàn
    Partisan de la Guerre
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    JIan

    30 ans
    Fléau
    Rang 1
    Guerre




    OBJETS DE DÉPART
    ·
    · ENTRECÔTE SANCTIFIÉE DE NIÚ MÓWÁNG (Relique éternelle)
    · Objet d'affiliation á la Guerre (fers brisés marqués du sigle de la Guerre)






    Situation actuelle
    Ex-Victime de la Captivité
    Avant d'être Jian, il a été quelqu'un d'autre. Il se rappelle d'une enfance dans un autre pays... En Chine. Il se rappelle de l'usine, des conditions de vie - Inhumaines, et pour cause : dans toute usine, la productivité est priorité, et la vérité de cette usine, c'est qu'ils étaient les produits avant d'être les travailleurs - et que les maîtres marionnettistes derrière l'édifice étaient littéralement inhumains.. Son enfance volée, son adolescence viciée, il a appris à survivre avec rien, il a appris à tenir et rester dans les rangs, à encaisser... Jusqu'à en avoir assez.

    Avant même les émeutes et guerres civiles qui ont frappées le monde, il était déjà parmi ceux-là – les rebelles. L'usine sinistre lui a appris à voir les choses de l'autre côte du voile, et bien assez tôt, il a appris plus. Malgré lui, il a rejoint d'autres rebelles occultes. Il a appris à se servir d'une arme à l'âge où il a commencé à muer, et il a appris les bases de l'énergie occulte en presque autodidacte. L'idée ? Combattre pour sa liberté. Et il y a eu droit, à sa liberté...

    En quelque sorte.

    Enfant de la Guerre
    Lorsqu'il a choisi la rébellion, il a choisi la guerre, et dans la guerre, il a connu la mort. Le problème, c'est que lorsqu'il a expiré son dernier souffle, les chaînes étaient encore à ses poignets. Et ça, il ne pouvait pas l'accepter. Alors par extension, il n'a pas accepté de mourir. Dans la mort, il a renaît, et dans la renaissance, il s'est libéré. Il doit sa liberté à la violence et à l'excès. À l'excès de violence, finalement. Alors dans un monde qui n'a de place que pour les monstres, sa place à lui a été vite trouvée...

    Par le conflit il s'est libéré, alors par le conflit il évoluera, alors naturellement, c'est dans son ombre qu'il se rangera.

    Fléau de la Libération
    Cela fait quelques années maintenant qu'il officie affilié à la Calamité de la Guerre. Il s'est fait une petite réputation dans le milieu occulte pour ses divers coups d'éclats et la thématique qui semble suivre : il aime pousser aux rebellions, il aime allumer l'étincelle dans le cœur de ceux qui vivent avec des chaînes – physiques ou métaphoriques. Plusieurs faits divers de rébellion face à l'autorité gouvernementale trouvent leur origine auprès de lui, de prés ou de loin, des plus bénins au plus sanglants. Parmi ceux qui le connaissant dans le Pandémonium de la Guerre, son aversion pour la Captivité n'est pas un secret – il s'arrange souvent pour participer aux opérations qui opposent les deux Calamités.

    Ses lubies et... Secteurs d'expertise lui valent un surnom : Jian, le Fléau de la Libération.




    Psychologie
    Parfois la violence est une fin, parfois la violence est un moyen. Invariablement, la violence est là, dans son cœur, dans son esprit. Tu dois comprendre : avant de renaître, Jian a bien dû mourir. Et avant de mourir, il a vécu une vie pleine de chaînes.

    Jian déteste les chaînes.

    Il se rappelle de sa vie d'humain. Ce Soi qui était faible, manipulable et donc manipulé. N'est-il pas manipulé aujourd'hui aussi, pourrait-on dire ? Peut-être. Mais aujourd'hui, il n'est pas faible. Il a choisi ses chaînes, il a choisi le sang. Parce qu'il n'y a que dans le rouge qu'il se sent vivre, parce qu'il n'y a que comme ça qu'il a appris à s'approprier ce qu'il désire.

    L'esclave a trouvé sa liberté dans la violence, et il y a pris goût, jusqu'à l'incarner. Il a compris qu'il pouvait arracher bien plus que simplement cette liberté, à la force de ses griffes. Alors ils diront qu'il est brutal, et ils auront raison. Par sa mentalité, par ses mots, par la force de ses coups, Jian est violent, vif. Jadis, on l'a forcé à l'immobilisme. Plus jamais.

    Le monde a trop à offrir pour accepter une prison.
    Les atours du prédateur sont trop attrayants pour accepter d'être une proie.

    Il est froid, calculateur. C'est une créature de contrôle, maître de soi-même (généralement), et donc maître des autres. Fut un temps, il a été esclave du désespoir, de la colère. Plus jamais, ça aussi. Par-delà la mort, il vit – enfin. Il ne se prive plus, il prend s'il a envie, et s'il ne peut pas prendre, alors il ambitionne, il planifie. Il a appris la patience, parce qu'elle est utile. Parce qu'un être sauvage n'est pas nécessairement un être indiscipliné – parce que le loup traque, et qu'il comprend l'importance de la meute.

    Il rit, mais son humour est acide, parfois cruel – Joueur comme un animal joue avec sa proie. Il respecte la compétence, mais par-dessus tout, il respecte la force. Bon vivant, curieux, son masque placide cache les fantômes d'une enfance volée. Ce quelque chose qui le raccroche aux vestiges de son humanité, les souvenirs d'une vie à la fois si proche et si lointaine... Une vie qu'il ne peut pas oublier. Pas totalement. Alors parfois, les émotions de cet humain qu'il était jadis s'invitent.
    Après tout, ce sont les regrets de ce Soi mortel qui ont engendrés ce Soi éternel.

    Il était captif, le voilà libéré.
    Il était craintif, le voilà déchaîné.

    La Guerre arrive, et il s'improvisera volontiers son messager. Un message avec sa petite touche personnelle.

    Un message de Libération.






    Questions d'affiliation

    1. Qu’est-ce que votre personnage pense des humains et du monde matériel ?
    Le bétail. Les outils. Les pions. Pour Jian, l'humain moyen est au mieux un divertissement, au pire une nuisance... Ou alors peut-être est-ce pire pour ceux qu'il considère amusants ? Ceux qui sont utiles ? Ceux qui résonnent avec sa propre vision ? Difficile à dire.

    La vérité, c'est qu'il considère l'humain moyen au travers des yeux d'un chef de guerre à l'esprit corrompu.

    « Des ressources », c'est ce que lui dit son esprit rationnel. Mais plus d'une fois, il a... Gaspillé ces ressources. Parce qu'il en avait envie. Parce que c'est ce que son instinct lui a murmuré. Parce que c'est drôle. Parce qu'il avait une autre idée...

    Ultimement, ils serviront tous le conflit.

    Puis il y a « les autres ». Ceux qui éveillent un écho à sa propre existence précédente, ceux qu'il peut Libérer.... Ou pire, ceux qui ont été des acteurs dans la vie de sa précédente incarnation terrestre. Eux, ils ont une place particulière, personnalisée, sur-mesure. Ceux qui attirent son attention... Pour le meilleur comme pour le pire.

    Mais ceux-là sont rares. Dans le grand schéma des choses, le monde matériel est à la fois un filon et un parc d'attraction. C'est là qu'il arrache aux hommes l'essence de leurs ô combien précieuses émotions, et c'est là qu'il vit libéré des chaînes de l'Avant. En somme, il aime le monde matériel. Mieux encore : il aime les humains.

    Si utiles.
    Si divertissants.
    Si familiers.

    2. Quelle est la vision de votre personnage sur l’histoire des sociétés occultes ?

    Jian est un jeune fléau. Son âge occulte se compte en années, pas en décennies, et encore moins en siècles. En ça, ce serait facile pour lui de ne simplement pas se soucier du passé millénaire qui définit sa nouvelle nature... Mais il s'intéresse.

    Après tout, son ambition ultime consiste à faire tomber une Calamité. Alors si l'histoire occulte peut lui permettre d'en apprendre plus sur Captivité... Tout avantage est bon à prendre.

    3. Que pense votre personnage de l’Apocalypse et du grand esprit Taemanai ?
    Des considérations passées, et donc lointaines. S'il ne peut réfuter l'importance de ces deux figures, la vérité terre-à-terre de son existence, c'est celle d'une fourmi face à leur immensité. Si un jour les géants redeviennent une urgence au goût du jour, peut-être qu'il s'y penchera... En attendant ?

    Il a déjà des géants bien plus concrets, et bien plus actifs à qui s'intéresser.
    4. Est-ce que votre personnage est affilié à une des Calamités ? Si oui, laquelle et pourquoi ?
    La Guerre. Trop jeune il appris le conflit, et trop jeune il y a pris goût. C'est dans la violence qu'il s'est dépassé, qu'il s'est libéré - qu'il s'est transcendé. Dans un monde qui n'a de place que pour les monstres, sa place était vite trouvée.

    Puis, si on lui demande... La Guerre est encore la plus divertissante des Calamités à suivre. Les autres incarnent peur, colère et tristesse. Guerre  incarne la joie. Une joie malsaine, corrompue, meurtrière, diraient certains. Mais une joie tout de même.

    Il suffit de parvenir à trouve son euphorie dans le conflit, pour en arracher la récompense.





    Test-RP Libre
    Irrespirable, l'air au travers de ce masque transparent.
    Lourd, le silence assourdissant de cette grande salle.
    Oppressant, le poids de l'interdit. De la médiatisation. Du jugement. De tout.

    Tout est Loi.
    Tout est une chaîne.
    Insupportable, et pourtant supporté.

    Hiroshi n'a pas le droit de parler, il n'a pas le droit à un avocat, il n'a pas le droit de répondre. Il n'y a pas de question ni investigation, pas de présomption d'innocence. Il y a des preuves qui n'ont pas besoin d'en être : son sort serait le même dans tous les cas. Hiroshi est un exemple, son procès est un spectacle, et sa condamnation est une évidence.

    Il le sait.
    Et peut-être, plus terriblement : ils le savent.

    Il n'aura droit à rien. Pas même un semblant d'espoir.
    Le manque de mobilité imposé par son fauteuil roulant lui apparaît plus oppressant qu'à l’accoutumée. Les regards plus durs, aussi. Le panel des juges échange par notes écrites. Chaque son est amplifié par cette architecture malsaine : Les stylos contre le papier, les bruits de pas, le statique de l'écran quand un nouvel élément est présenté, la rotation mécanique des caméras. Le tribunal est une punition à part entière : son mutisme factice, entretenu de ces faibles bruits parasites, répétitifs, agressifs.

    Puis, finalement, un bruit qui surpasse tout, soudain, puissant. Le marteau du magistrat, qui frappe durement contre le bois, résonne dans la salle pour imposer un néant cette fois-ci absolu.

    Cela dure quelques secondes, jusqu'à ce que le magistrat se lève... Seul porteur de la boucle d'or blanc, seul possesseur du droit à la parole. - Todoki Hiroshi. La cour d'assises de la préfecture de Tohoku a rendue son verdict.  Un silence, un regard. Un poids. - Les juges après délibération vous déclarent coupable de discours dissidents, violation de la sûreté publique et cyberterrorisme.

    Le poing se serre. Premier bris du masque.
    Colère. Indignation. Désespoir. Il se rappelle des interrogatoires. Les aveux que l'on a tenté de lui faire cracher. Il se rappelle des faits. Hiroshi a fait une erreur : il a exprimé son avis sur internet. Il a fréquenté les mauvais cercles, s'est rapproché des mauvaises personnes. Engrenage insignifiant de la machine anti-gouvernementale, il a été mis dans le même paniers que d'autres utilisateurs plus dangereux qu'il a rencontré sur le net. Par association, il sert d'exemple.

    Finalement, Hiroshi, c'était un jeune japonais frustré avec le système qui a trop parlé. Rien de plus, rien de moins.

    - Ces infractions à l'article 68 et 70 vous condamnent à 50 ans d'emprisonnement.

    Le verdict tombe, tranchant.
    Il y a une suite. Il y a d'autres mots qui sortent de la bouche du magistrat. « Transfert au tribunal de surveillance technologique », « sans appel ». Mais il n'écoute plus. Il n'écoute que cette furieuse confusion qui roule contre ses tempes, qui presse contre son esprit. Cinquante années. Il n'a que 21 ans, Hiroshi. Il a juste parlé sur des forums, rencontré des gens. Il ne s'est jamais impliqué dans les plans plus concrets de ses Nouveaux amis, parce qu'il avait peur. Parce qu'il n'a jamais voulu être un rebelle. Pas vraiment.

    Il n'y a pas de cyberterrorisme. Il n'y a pas de violation à la sûreté publique. Mais surtout...

    Il n'y a pas d'avocat, ni de défense, ni de recours. Rien.
    - Il doit y-  Il parle. Il parle, et il sait que c'est une erreur, mais les émotions prennent le dessus. Il parle, et il se fige sous le regard inquisiteur de l'assemblée. Choqués, outragés. Il ne sait plus à quoi répondre. Sa peur ? Sa colère ? Son poing se ferme plus fort. Jusqu'au sang. Ses traits se ferment, ses yeux se ferment.

    - Tu parles d'un procès.

    Ses yeux se rouvrent. Second bris du masque.
    Il ne voit rien, mais il sent une présence. Quelque chose d'étrange, d'étranger. Quelque chose qui ne vient pas de ce monde. - Dis-moi. Comment tu te sens ? 

    Il est le seul à entendre la voix, claire, forte. Dans sa tête, la question résonne comme un écho à ses propres interrogations. - Je... Il hésite. - Parle. C'est peut-être ta dernière occasion d'y avoir le droit pour les 50 prochaines années... Profite-en. Un constat cruel, mais pourtant réel. La réalité de son futur s'incruste un peu plus loin dans son esprit. Son poing se serre, Encore. Il ne remet même pas en question le surnaturel de la situation. De cette voix qui vient du vent, pour finir à son esprit. Ce n'est pas la première fois qu'il vit quelque chose qu'il ne peut pas expliquer.
    Pire, il a déjà Vu des choses.

    - Ils mentent... J'ai jamais fait tout ça... Le pire que j'ai jamais fait, c'est...
    - Tu vis dans un monde où la parole peut te valoir la prison.

    Nouveau constat, nouvelle réalité brute, lancée d'une voix qui coupe, tranchante.

    - « Juste donner ton avis », c'est déjà trop, Hiroshi.
    - Et pourquoi ?! Ils voudraient quoi, qu'on crève pour ce pays-prison en disant rien ? Comme si on leur devait quelque chose ? HEIN ?!

    Ses traits se tordent, son bras tremble sur l'accoudoir du fauteuil.

    - Ah... Qui sait, peut-être que tu aurais pu voir le bon côté du gouvernement si seulement... La phrase reste en suspend, et il sent la présence s'approcher... Il devine des contours flous devant, une silhouette humanoïde assise en tailleurs sur la table, dos voûté. Il voit des bras qui descendent jusqu'à aller chercher les roues de son fauteuil, le faire avancer et reculer doucement, d'un mouvement subtile. - Si seulement tu étais comme les autres.
    - J'ai vu le « Bon côté »... Malgré que ce soit sa voix mentale, ses mots sortent comme entre dents serrées. J'étais dans l'équipe de kenjutsu de mon école... J'étais le meilleur, et c'était... Tout était facile. J'étais privilégié. J'avais juste à rester dans les rangs et continuer d'être le meilleur.
    - Plus facile d'être un bon chien obéissant quand le maître te donne ton os, hm ? Une provocation dans les mots, un venin dans la voix. Plus facile d'être un instrument de l'oppression, plutôt qu'une victime.

    La rage monte, les poings se serrent, Encore. Il fixe droit devant soi et... Et la silhouette se précise. Yeux d'or, peau de nuit, corps fort, il est assis, un sourire mauvais sur ses traits, un regard qui jauge, plutôt que juger. Il n'est pas de ce monde. Il n'est plus de ce monde. à ses poignets et à ses chevilles, des chaînes dorées. Brisées.

    - Je sais comment tu te sens. La voix de l'homme – de la créature – change. Son expression se fait plus sérieuse. Le système est injuste. Ta situation est injuste. Et le pire dans tout ça ? C'est que tu n'as rien pour te défendre.

    Hiroshi ne répond pas, mais son regard répond. C'est comme un instant hors du temps, cette discussion avec l'Étrange. Le temps de ce flottement, la colère brûle l'âme de celui qui jadis, était le meilleur.

    - Alors la question est simple, Hiroshi. Est-ce que tu vas les laisser te prendre ta vie, pourrir en prison jusqu'à l’extinction... L'homme se lève, fait le tour du bureau, jusqu'à s'accroupir prés du fauteuil roulant. Puis... Un mouvement,  un portail qui s'ouvre dans l'air. Il y plonge la main, et il en sort un revolver qui trouve sa place sur les cuisses d'Hiroshi. L'arme est noire comme un ciel sans étoiles, elle n'a pas de numéro de série. Ou est-ce que tu vas leur montrer?

    D'un mouvement agile, l'inconnu reprend place sur le bureau, assis en tailleur. Il observe, inquisiteur. Curieux. Il voit l'hésitation sur les traits d'Hiroshi... Il voit l'envie.
    L'envie de céder.

    - Fais-le. La voix plus froide. Impérieuse. C'est ta première et dernière chance. Tu veux être un autre exemple parmi tant d'autres... Ou tu veux être quelqu'un?.

    Troisième bris du masque.
    Il n'a jamais voulu être un rebelle. Jusqu'à aujourd'hui. Il avise l'arme cachée derrière le bureau, sur ses jambes... Et il s'en saisit.


         Fais-le.
                                     
                                               Tire.
        APPUIE SUR LA DETENTE.
                                 Cinquante années.
                               Pourquoi ?  
              FAIS-LE.       C'est fini.
      Libère-toi..  
                                                     Maintenant.
                 Rebelle-toi.                         Brûle.
                                                Fais-le.
                              Pourquoi tu devrais accepter ?
               SAIGNE CES SALES CHIENS
         T'es piégé.
                                          Tu veux finir en taule ?
              Libère-toi.                                TIRE.
                                    LIBERE-TOIMOI.


    Il y a sa main sur l'arme, et il y a les mille voix à son esprit.

    - Eh, Akio?

    Il n'y a plus de peur dans sa voix. Il appelle le magistrat par son nom, désinvolte, sans le respect dû. Plusieurs policiers s'approchent, mais... Mais le revolver est déjà pointé sur le Magistrat.

    - Meiyo no kettō.

    Une ironie acide sur ses traits, Hiroshi annonce le « duel ». Et il tire.
    La balle passe par-dessus l'épaule de l'inconnu, qui ne répond que d'un sourire, puis elle part se loger entre les deux yeux du magistrat. Ça ne dure qu'une poignée de secondes, jusqu'à ce que les caméras cessent de diffuser. Trop tard.

    Le Japon a vu.

    ***

    [TW : violence]



    Mais le Japon ne verra pas la suite.
    Hiroshi a tiré, puis c'est comme si tout s'arrêtait autour de lui. Un sentiment de puissance, alors qu'il vient de tuer le représentant de l’oppression gouvernementale. La voix de sa fin, le porte-parole de l'injustice dont il est victime. Plus que la puissance, c'est autre chose...

    Un sentiment libérateur.

    Autour il y a les cris, la panique, l'horreur. Par son seul geste, il a détruit la bulle impénétrable imposée par les autorités. Il a brisé le silence, ruiné la discipline, brûlé le respect. L'inconnu n'est plus assis devant lui. Il a disparu. Et alors tout autour, le ballet rouge a commencé. La créature n'est plus invisible. Elle ne souhaite plus l'être. Alors d'abord, il y a eu les armes pointées sur Hiroshi, puis rapidement, il y a eu les armes pointées sur ça.

    Premier clignement d'yeux, la tête d'un agent encastrée dans le mur, explosion rouge.
    Deuxième clignement d'yeux, le bras armé d'un autre garde sort de son axe dans un craquement sinistre.
    Troisième clignement d'yeux, main désarmée, canon contre front, détonation.

    Bruit des armes, bruit de lames, bruits de balles. Ils ne comprennent pas, alors ils ont peur. C'est plus fort qu'eux, c'est seul, et ça taille parmi leurs rangs comme si c'était un jeu... Parce que c'en est un. Sa vitesse diminue, là, devant un duo de policiers. Ils sortent leurs armes et tirent. La majorité des balles percutent la peau comme un impact contondant. Son sang est mauve, et son expression n'exprime pas la douleur. Seulement, un sourire qui s'étire sur ses traits, alors que les quelques blessures par-balle sur sa peau se referment à vue d’œil.

    Il approche. D'un mouvement vif, il est en face de l'agent à droite. Sa jambe gauche pivote, s'appuie, sa jambe droite se lève, s'élance. Le chassé part, et avec lui le buste de l'homme, emporté tout entier par la force surhumaine du coup. À gauche, l'autre pointe son arme... son bras est saisi, sa gorge aussi. Soulevé du sol, l'homme se débat... Et il sent que ça tire sur son bras. Et ça tire, et il hurle, et ça tire plus fort, et il hurle plus fort...

    Un coup de feu. Une tâche de sang qui s'étend sur le torse du policier.
    L'inconnu tourne son regard vers l'origine. Hiroshi. Un sourire satisfait...

    Hiroshi tire. Encore, encore et encore. Il crie, il libéré du poids, libéré des chaînes, il veut les blesser, il veut les tuer. Il tire sur les juges, il tire sur les agents. Chaque détonation est assourdissante, démultipliée par l'architecture de ce temple dédié au silence... Jusqu'à ce que tout s'arrête.

    Une grande main griffue qui transperce le torse d'Hiroshi. Qui le soulève haut au-dessus de son fauteuil, pour le mettre face à une silhouette imposante, terrifiante...

    Spoiler:

    Créature humanoïde, et pourtant plus éloignée de l'homme que peut l'être l'inconnu aux chaînes brisées. Un visage sévère, la partie supérieure remplacée par une sinistre balance déséquilibrée, symbole d'une justice corrrompue qui observe l'humain de son œil rouge.

    - Tu étais supposé être à moi...
    - Tu supposais mal, de toute évidence.
    - Jian...

    L'incarnation de la balance avise l'incarnation des chaînes brisée. Un grognement alien dans sa gorge, la créature se tourne... Puis il y a un autre coup de feu. La balance sent l'impact sur son visage, se tourne vers l'humain dans sa poigne... Malgré l'immense main griffue au travers de son torse, malgré tout le sang perdu, Hiroshi fixe la chose d'un regard fou. Et ce n'est même plus de la haine...
    C'est l'envie de tuer à l'état pur.

    - Crève... Crève, crève crèvecrèvecrèvecr-

    à chaque « crève »,une balle part. La dernière ne sera jamais tirée, alors que la seconde griffe décapite l'humain d'un geste sec.

    - Quel gâchis... Il aurait été si délicieux. Il laisse tomber le corps sans vie, et tourne son attention vers l'inconnu qui n'en est plus un – Jian. Tu n'es pas chez toi, chien de Guerre...
    - Oh, mais si. Grâce à Hiroshi, je suis ici comme chez moi maintenant.Tout autour, invisibles au commun des mortels, les mouches calamiteuses ont cessées leur récolte. Jian pouvait les voir au début, à tourner autour d'Hiroshi comme autour d'un met gourmand. Ton temple dédié à la Captivité est désormais un autel à la gloire de la violence et de la rébellion, une ruine fumante...

    Car c'est tout ce dont il s'agissait, finalement.
    Lui prendre son temple. Sa Contagion.

    même ta grande offrande d'aujourd'hui est ruinée. Jian rit, doucement, amusé, provocateur. La balance siffle comme un serpent courroucé. Mort dans la violence et la joie de tuer, libéré de tes chaînes.
    - ASSEZ !

    L'oeil au centre de la balance s'illumine d'une lueur rougeâtre, et le rayon d'énergie part. Le dos de Jian se voûte pour esquiver... Mais la salve d'énergie ne s'arrête pas, et la balance abaisse son regard. Alors Jian commence à courir un grand angle à droite, et le rayon suit, détruit et tue sur son passage. Hommes et mouches calamiteuses, réduits en bouillie organique sur le sillage du rayon alors que le Fléau aux chaînes brisées approche. Sur le chemin, un bureau est soulevé, détaché de ses appuis au sol, puis lancé au visage de la balance. Le rayon coupe le bois en deux, pour dévoiler un Jian soudainement beaucoup plus proche, Dangereusement proche... Son bras se tend, et sa main s'ouvre grand pour aller recouvrir l’œil unique. La balance hurle sa douleur d'un beuglement atroce, alors que ça brûle la peau de Jian, qu'il siffle sa propre souffrance entre ses dents serrées... Toujours en plein air, Jian prend appuie sur le haut du crâne de la balance de son autre main, pour s'élancer au-dessus. À l'élan de son approche et à la force de ses bras, il dépasse son adversaire et enfonce ses genoux dans son dos. L'impact fait reculer la chose, la force à se voûter, et alors le guerrier va enrouler un bras sous le menton, placer une main sur la nuque, puis verrouiller la prise, et commencer à serrer.

    - Et si on inversait les rôles, hm...? Une voix de poison, alors qu'il contrôle la prise, qu'il tient son adversaire Captif. Jambes enroulées, bloquées à l'intérieur de celles de son ennemi, il ne lui laisse aucune échappatoire... Sur le plan physique. Et quand bien même la balance faiblit, donne du terrain, ça ne dure qu'une dizaine de secondes.

    - Détention.

    Le captif parvient à prononcer cet unique mot, et les bras de Jian sont brutalement ramenés en arrière comme pour y répondre. Soudain, une paire de menottes lie ses mains derrière son dos, et il ne peut maintenir la prise. Il recule, prend de la distance... Mais la balance suit, rapide – plus qu'elle ne l'a montré jusqu'ici.

    - 20 ans.

    La main semble s'investir d'énergie occulte avant de griffer Jian. Ça touche, ça tranche, et le rouge coule, la douleur se propage... Mais surtout, le poids. Jian se sent lourd, d'un coup. Et pour la première fois depuis le début de cette rencontre, la balance sourit et dévoile sa dentition accidentée.

    - Tu as fait une erreur en venant ici... Toujours ce quelque chose d'Alien dans la voix. Perturbant, désagréable... - Tu as ruiné mon offrande. Alors je t'offrirai à Captivité pour me racheter... Sur sa tête, la forme de la balance s'anime d'une fumée noire. - Que dirais tu de revenir à la maison, Jian... ?

    - C'est toi qui a fait une erreur. Jian répond, et il n'y a plus ce jeu dans sa voix. Il fixe la balance d'un regard plus intense, plus froid... - Tu as oublié mon nom.

    - 50 ans. la balance élance son bras d'un geste vif. Un coup à l'horizontale, une entaille au visage... Mais les griffes ne trouvent rien, cette fois. Rapide, les genoux de Jian se plient, son dos se voûte, et là, alors qu'il est sous le bras de son assaillant, il entre dans sa garde. Ses appuis profondément ancrés dans le sol, il saute avec puissance, si fort que le béton se fissure. Le choc est brutal, alors que son crâne percute le menton de la balance et qu'il continue son ascension une dizaine de mètres plus haut... Avant de commencer à retomber.

    La balance a mal, mais elle rit. Elle voit une cible facile qui vient s'empaler sur le poids des 50 années de sentence chargé dans sa griffe... Mais pendant la chute, quelque chose. Un salto avant, puis craquement sinistre, puis un autre, alors que les épaules de Jian se déboîtent, que ses bras passent au-dessus de sa tête et achèvent leur rotation jusqu'à finir devant. Les bras achèvent leur rotation en même temps que Jian achève son salto, en même temps qu'il rencontre la balance. Puis, au cœur de tout ça, deux mouvement subtils, qu'il a commencé dans son dos.

    Un signe incantatoire.
    Puis le dessin d'un cercle dans l'air.

    L'épée sort du portail, et elle s'abat avec force sur la balance. Jian y concentre sa force, et un éclair noir accompagne le coup... Les griffes métalliques que la balance oppose ne suffiront pas à défendre. Parce qu'il passe au travers de ces doigts aisément découpés, et il passe au travers de cette figure de balance qui fait office de crâne à la créature. L'entaille s'enfonce, profonde, terrible, et elle creuse jusqu'à ouvrir une béance dans la forme du crâne. Un œil coupé en deux par le milieu, la lame s'arrête à l'arête du nez. Le fléau hurle à la mort, sa voix d'un autre monde fait trembler la salle, et son sang noir coule à profusion, éclabousse Jian.

    - CHAISE ELECTRIQUE

    Les griffes s'investissent d'éclairs rouges, et il plonge ses deux mains dans le torse du fléau de Guerre. La douleur est immense, continu : il y a d'abord les griffes qui transpercent, puis il y a la brûlure de cette énergie agressive, corrosive...

    Il a mal. Terriblement mal.
    Mais à ce stade, la douleur n'est plus qu'une information.

    - Tu as oublié qui je suis.

    Comme pour faire écho à ses mots d'un peu plus tôt, il crache ça entre ses dents ensanglantées... Puis, dans un Clic, ses menottes cèdent.

    - Qu-QUOI?!

    Une énergie occulte rouge enveloppe Jian. Alors que ses mains viennent chercher les branches qui servent de support à chacun des deux plateaux de la balance. Il tire la branche de gauche plus à gauche, tire celle de droite plus à droite... Et petit à petit, lentement, terriblement lentement L'oeuvre qu'il a commencé s'achève. La chair se déchire, le visage de la balance s'ouvre en deux à chaque secondes qui passent, jusqu'à ce qu'un ultime son organique ne signe la fin. Le corps de la balance tombe au sol, Jian au-dessus d'elle. Tout autour, plus rien ne vit. Les humains sont soit morts d'Hiroshi, soit de Jian, soit dommages collatéraux de cet affrontement... Soit se sont enfuis, pour quelques chanceux.

    Aujourd'hui, il offre ce combat à Guerre. Mais il se réserve tout le reste. C'est tel qu'il l'a dit à son adversaire. Il a oublié qui il est. Comment est-ce qu'ils l'appellent.

    Jian, le Fléau de la Libération.

     





    Qui est le joueur derrière personnage ?
    J'rp depuis longtemps, je suis discret sauf quand je fais des blagues  faciles ou quand d'un coup j'ai décidé que j'étais d'humeur sociable aujourd'hui. Je code comme une quiche, donc désolé d'avance pour les éventuels souci futur à ce niveau. Grobisou.




    Jiàn
    https://www.jjk-rpg.com/t47-jian-liberte-rouge-terminee#75
    Matière et Mouvement
    Narrateur omniscient
    Rang :
    S+++
    PI Investis :
    0
    PI Restants :
    0
    Description Brève :
    — Le silence éternel de ces espaces infinis [...] ;
    — L'esprit préexiste à la matière. L'esprit habite chaque atome, chaque particule. L'esprit est la partition de l'Univers, la force immatérielle qui forge la réalité concrète. Il est... [...] ;
    — [...] serait donc approprié cette capacité à être, sans naissance et sans mort, et à demeurer, hors de l'espace et du temps ;

    Ce compte est le Maître du Jeu.
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    Fragments d'Emotions :
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    Localisation :
    Narrateur omniscient
    Dim 11 Fév - 14:03

    Bienvenue Jian

    Ce n'est que mon point de vue, mais j'ai absolument adoré ta plume. Le positionnement de Jian en tant que présence de l'ombre, de conseiller, d'influenceur plutôt que d'acteur était une très bonne idée. Face à une politique totalitaire, incarné la flamme de la Libération est une lourde tâche. Je pense toutefois que tu t'en acquitteras à merveille.
    Je suis très curieux de lire les aventures de Jian, l'Empire, Captivité, il a choisi de puissants antagonistes !


















    Validé rang 1
    Bienvenu au Fléau de la Libération, rang 1 !

    Affilié à la Guerre
    Car les chaînes sont brisées dans le sang, te voilà membre de la Horde pandémoniaque de notre très chère Guerre.

    Objects et statut obtenus
    Objet d'affiliation á la Guerre (fers brisés marqués du sigle de la Guerre)
    Entrecôte sanctifiée de NIÚ MÓWÁNG (Relique éternelle)).

    Les prochaines étapes

    1. Fiche technique.

    2. Fiche de progression.

    3. Mémoires.

    4. Accès réseaux.


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