Maîtresse d'une fabrique cauchemardesque
Fervante fidèle d'Anu, Rum-Ukkubu a toujours possédée un attrait pour la gestion, répugnée par ceux qui ne savent se rendre utile que par la violence. Dans sa fabrique le fléau sert la Captivité suivant la volonté de son Roi en vue d'obtenir le contrôle des croyances humaines. Sa Fabrique stimule la tristesse, en utilisant l'espoir, les déceptions, les fausses promesses et les choix cornéliens. Rêvant toujours avec nostalgie des premiers temps d' l'humanité où elle et ses semblables étaient vénérés comme des dieux, elle a fait de sa fabrique un temple à la gloire de cette ère antique ainsi qu'aux haut-faits de son maître Anu.
Nostalgique des temps anciensRum-Ukkubu déteste profondément l'époque actuelle, elle fut l'une des vassale de la soumission, voyant l’apogée de celui-ci comme un âge d'or. Les humains sont cependant maintenant bien trop nombreux et surestime leur importance dans l'univers. L'idée même que les siens ne soit plus priés, révérés et adulés, la désole. Pire encore maintenant l'on s'oppose ouvertement aux fléaux, obligés de faire profil bas et contraint se cacher à l'intérieur des pandémonium pour survivre. Pourtant les êtres occultes devrait dominer, ils sont étrangers à la prise du temps, n'ont pas besoin de dormir ou manger et possède dès la naissance une force bien supérieur à celle d'un humain. Alors que de l'autre côté les hommes ne sont que des sacs de chairs, même parmi le règne animal ils sont particulièrement faibles, moins rapide, moins fort, des sens limités. Alors que pourquoi sont-ils maintenant des milliards ? Grouillant dans d'immense cité, c'est répugnant. Les sorciers sont aussi bien plus nombreux qu'à l'époque et leurs sorts se sont perfectionnés. Même le superbe Anu n'est plus adoré à sa juste valeur, on ne se prosterne plus, l'on érige plus de temples, on ne lui fait plus d'offrande. Alors que pourtant il est le seul à mériter de graver son nom dans l'esprit de tout ce qui vit.
Fidèle de la soumission Dire que Rum-Ukkubu aime Anu est un terme trop faible. Elle a choisit de dédier son existence à plaire à son Roi. Bien qu'elle soit maintenant affiliés à la captivité c'est surtout la direction du premier démon qu'elle suit. Pourtant elle n'est qu'un fléau parmi d'autre chez ses fidèles, mais elle ne s'en soucis pas, que son maître ai conscience ou non de son existence n'a pas d'importance. Elle a été témoins du talents de celui-ci, comment il réussi à être fait dieu, son habilité à fasciner et comprendre l'esprit humain. C'est en observant Anu et recevant les percepts de ses premiers vassaux que la créature primitive qu'elle était pu s'éveiller à la réflexion, la ruse et les joies de la subjugation, elle doit tout à son Roi et 10 000 ans ne suffiront pas à éteindre sa dévotion pour son Roi. Pour cela aussi sa haine de l'épidémie est sans borne, comme celle qu'elle entretient pour ceux qui ont changé d'allégeance devant les innovations de la nouvelle calamité. Elle les tiens tous pour responsable d'avoir détruit un paradis occulte.
Spectre de la dépendanceRum-Ukkubu est née du sentiment de dépendance de ceux que l'on a privés de leur capacité à être indépendant, les esclaves, les prisonniers, les femmes marié de force ou même les enfants. La plus part des concepts qui l"on vu naître, sont maintenant moins répondu mais Rum-Ukkubu le sent bien, la dépendance est toujours vive même dans le monde moderne, certes elle est plus insidieuse et moins violente, mais les humains ne cesseront jamais de vouloir dominer leur semblable en tentant de faire croire qu'il leur sont essentiels. Après tout quelle plus belle sensation que de soumettre quelqu'un sans même avoir à le frapper. Cela à offert à la spectre une appétence pour toute victoire qui ne nécessite pas violence, la brutalité n'est chez elle qu'une ressources de dernier recours synonyme d'un profond ennui. De l'autre côté c'est surement la nature de sa naissance qui à développé chez Rum-Ukkubu un tel fanatisme pour son Roi, il est tout ce qu'elle aspire à devenir et est incapable d'imaginer un avenir sans qu'il ne soit là pour lui indiquer le chemin.